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1 septembre 2009 2 01 /09 /septembre /2009 14:13

Je nie toutes responsablités quant à l'apparition de ce bandeau publicitaire.
Bordel, on peut même plus partir en vacances sans se faire squatter...

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10 juin 2009 3 10 /06 /juin /2009 09:30
Bansky (TM)

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Et pas que !
...
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12 avril 2009 7 12 /04 /avril /2009 03:07

"les petites connes snobinardes finissent avec des blaireaux comme moi."

Graffiti laissé par un ex à mon intention.

Beaucoup d'hommes dans ma vie. Peu de sodomies.
Dans les annales amoureuses de ma logique, l'élection passe par une insolite voie royale.
Si tu m'aimes, moi non plus.


Aujourd'hui, à regarder par dessus mon épaule, il me semble qu'il n'y a jamais eu que Thomas. L'amant et l'ami. Peut-être l'un puis l'autre, et qu'aujourd'hui tout se mélange. Mais j'ai été amoureuse, physiquement, comme rarement. Et - ô joie de la réciprocité ! - nous avons passé 6 mois nus - sans nous rassasier - de genèse béate, d'hermaphrodisme entre le Tigre et l'Euphrate.

Pour la transition facile, Brio en symétrique, c'était la boustifaille des enfers. L'alcool était notre berger, l'un à l'autre en pâture, de cuites en bitures, on se repaissait, toujours avides, des eaux et de la peau. J'avais jamais été aussi près de coucher avec mon père. Lui, non content de s'enorgueillir de m'avoir pécho, entendait bien aussi me faire marcher droit. A coup de trique.
Sauf que pas si facile. La nausée et les seins qui se dardent, j'entends encore sa chanson des représailles à mes jeux innocents : "Tu vas prendre cher". Alors vite, je buvais encore plus, en espérant qu'il reste du lubrifiant.

S'il tenait tant à me prendre à revers, c'est aussi que j'avais eu la mauvaise idée de lui dire que c'était sacré.

Ma sexualité - inutile de tourner autour du pot - est du genre masculine. Masculine, mais pas sans tabou. Plutôt franche, la plupart du temps. Hygiénique, parce que
j'ai longtemps préféré la masturbation indirecte. Que j'ai rarement la coquetterie de dire non quand j'ai envie de dire oui. Chroniquement ponctuée de phases maniaco-orgiaque quand quelque chose en moi meurt et que seule la petite mort me rappelle à la vie ( allez savoir, quand j'ai envie de mourir, je préfère dandiner du cul avant d'hurler à crève-tympans). Sauf que par-là (doux euphémisme); on simule pas. Quand j'amoureuse (c'est pas souvent), je cabotine pas, quitte à, paradoxalement, en passer par-là.

Ce qui m'avait plu, chez Brio, c'était le paradoxe aussi. Un ancien rugbyman en master de psycho, ça mérite qu'on s'y penche au plus près. Et plouf ! Inépuisable de verve et de vulgarité, il profanait, sacrilège, et se flagellait en décharge de pieuses prières, et m'adorait. J'avais la violence, comme la vie, en latence, elle m'est retombée dessus comme une vieille M.S.T. Physiquement (lui du buste, moi de la poitrine) et psychologiquement impressionnants, n'ayant rien à perdre, étant prêts à tout, en le zieutant, j'ai commencé à piger mon potentiel de toxicité. Mais, malgré sa propension à me prendre par derrière et par les sentiments, je lui restais plus étanche qu'à la boisson. Etrange comme l'amour, la luxure et tout un tas de merde peuvent prendre la même voie sans jamais se rencontrer.

Luxure, un bien grand mot pour pas grand chose, en vérité. Pratique courante chez  les plus douillettes, les plus prudes. Moi, c'est à peine si je peux y penser sans rougir. Moi, je peux ni l'entendre, ni le prononcer sans serrer instinctivement les cuisses, sans claquer des genoux. Brio - jamais à court de psychanalyse à la sauvage - prétendait que c'était symptomatique de l'invertie refoulée. Je ne peux pas nier que j'ai la croupe sensible, que c'est un fantasme aux reins solides, mais y'a loin du tourisme à l'immigration et je garde la certitude que certains exotismes sont plus beaux en photos.

Ou peut-être que ça dépend avec qui. Un juillet, Tom et moi avions trouvé 40 euros oubliés dans une veste. La fortune ! On a rit -bêtement ( les amoureux rient souvent bêtement à la plus petite occasion ; des imbéciles heureux, c'est le secret ), et en quelques heures, bagages pliés, un carton sur lequel était griffé " Vers le sud " (ou le soleil, je ne sais plus), on a filé vers l'exostisme bon marché. Comme cette nuit - lalala joie de la réciprocité - ou pour la première fois au même instant s'est pointé dans notre éden la luxure à bon marché.


Thomas, ma moitié, mon frère. Brio, mon père. Le cannibalisme au goût violent de la chair. La sodomie...
Les hommes ont leur totem,
m'en fous ! : il me reste les tabous.

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14 novembre 2008 5 14 /11 /novembre /2008 20:22



MattX ou je ne sais qui :

TU ME BOUFFES LE MOJO !

STP

[EDIT] :  // 1. Motifs raisonnables

                // 2. Enrobage gracieux

                // 3. Corde sensible

                // 4. Obscure(s) menace(s

    C Q F D        

       

Merci


L'auteure




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