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16 septembre 2008 2 16 /09 /septembre /2008 22:40

Wé. Trop humaine pour ces sublimes descentes.

Tu es le maître des paroles que tu n'as pas prononcées; tu es l'esclave de celles que tu laisses échapper.
Proverbe reubeuh.

Cantabile, c'est hors de ma portée.
Ou c'est que je serre trop les dents pour laisser aller.
Mais là, c'est pas la faute à
CéCil.
Plutôt que je me préoccupe trop de maîtriser/perdre le contrôle.


Donc samedi, j'ai vu Bashung mourir sur scène et la fin d'Arno

- j'étais à la bourre.
J'
humanisais.
Vu mon passif, c'est un peu comme remonter la grand'rue d'un sous chef lieu de canton quand on est la femme du
boulanger.
C'est toujours le même cirque.
Plus loin, dans des vapeurs de bolasses, je sirote avec mes 2 usines à rouler.
Bonne surprise les Baby Shambles.
On va écouter la Mafia Cainfri, radio-crochet des potes de Kery avant que ça devienne enfin
hardcore.
Puis je TracE vite pour des retrouvailles avec CéCil.
Au pluriel et direct dans les wécés.
Ca faisait un bout, j'en ai la narine humide d'impatience. Elle sent bon.
Je fais deux pas, c'est Furie à la Java. Hétéro friendly.
Igor nous aime, « on rigole » y parait. Monsieur Barbapapa est tout amour, c'est d'usage. Moi, je me demande si j'aime pas plutôt l'idée d'Igor.
Et re flash-back post-Java ( c'est d'usage), je me rappelle un truc que j'avais griffé à Feu-Mon-Grand-Non-Amour :

« Tu es de ceux qui ont l'absence remarquable : plus qu'être à tes côtés, j'aime remplir les vides que tu portes. Et plus que bien, je ne t'aime jamais autant que lorsque tu es inaccessible, que je t'ai quitté, que je t'attends. Même présent tu me manques, après tout, je ne suis pas là ; je te rêve et je prends des notes. »

Eh ! On se calme. J'ai dit, je reprécise : sans assimilation !
On passe à la suite.
Vite.

C'est qu'il est déjà 9h du mat, j'ai que quelques heures pour
comate avec
Gros Moby
avant dîner-rencard
et enfilage de scaphandre pour l'Immersion Bukowski au
Cercle Pan.
Daniel Darc décanille comme une rumeur
-et je suis à la bourre.

La soirée est pas trop dégueulasse pour le coup,
jeune et branchée même.
Heureusement, y'a quand même quelques vieux alcoolos pour relever le niveau et le frère de Mezzathilde, accoudé au bar, m'abordera même d'un classieux
Eh cocotte, ça te dirait pas d'être danseuse topless ?

M'enfin, comme je vais broncher à l'oreille de T.h.ierry,
à vouloir faire entrer l'underground dans la hype,
la hype vient doigter l'sous-plancher.
C'est d'usage.
Je suis pas séparatiste et les minettes sont gnonettes
mais le parfum couture et les coupes T&G qui s'encanaillent,
formellement, ça casse un peu.
Pour les projos dégottées par Yoann, le G.O pote de
Jérèm, y'a une séance de rattrapage samedi ou j'irais bien zoner.
Même avec mon taux d'alcoolémie qui relève du zéro pointé, j'ai mal à la libido.
Pleine lune et bien disposée à coups de puceaux, je me ride pour pas sauter sur tous les queutards qui me phéromonent.
J'ai mes raisons, genre carotte et bâton pour m'auto-motiver et la sublimation.

Et le cul ?
On s'en branle.
Ou pas justement.

Quelques semaines de coloc vous le prouveront :
La
branlette
, faut oublier.
Et c'est pas humain.

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1 septembre 2008 1 01 /09 /septembre /2008 15:42
Thx a Charly.


Post-mémoire de l'été.

De l'été.
Mais pas de
tube.
Visite bilan passé futurs projets.
La loose en festoche, la loose appliquée.
Lumières soleil timide, et feux BBQ au clair des hommes que j'aime.
Vanités toujours et plus que j'aimais.
La lune roule sur moi comme une voiture borgne.
La dictature du cœur et autres Désastres Affectifs Saisonniers.
Une trique infernale, libido au taquet.

Et l'Ennui.


Le credo de la rentrée.
Nouvel air, spleen, lust et volupté.

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25 juillet 2008 5 25 /07 /juillet /2008 23:42
Bon, c'est l'été et plein de gros beaufs sont coincés sur les autoroutes derrière d'autres gros beaufs. Les mômes chialent, vomissent sur leur siège enfants, les bourgeoises savent toujours pas lire des cartes etc etc.
A Paris, tout est plus lent aussi.
Ca roupille.
Avant et après la sieste, ambiancage au film de bagnoles.

Un classique :


Duel , de Steven Spielberg , 1971



&

La Course à la mort à l'an 2000 (Death Race 2000) , de Paul Bartel, 1975


un autre super bolide que je viens de découvrir.
Vroum.
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18 juillet 2008 5 18 /07 /juillet /2008 01:26
Libre. Enfin libre.
Paraît que mes textes sont hermétiques comprenne-qui-pourra.
Paraît.
Après l'amputation de mon appart gangrené, j'ai trouvé
refuge chez Tomtom.
On fait aller.
Même pas avec.
On fait. De partout on
veille sur moi.
C'te semaine, le ciel est plein d'étoiles.
Libre. Libre enfin.
C'est tout ce qui bruisse là dedans et des étoiles
partout.
Sûrement qu'on les voit mieux sans toit.
 
Libre, c'est TOUT.
 
Du coup ; je suis d'humeur lyrique.
En ribleuse, j'ai riblé ça, je sais pas trop pour qui, pour quoi.
Un carton chez Thomas de mon écriture brouillonne.
Hommage anonyme, tribut sans but, gratuit pour le geste, spéciale dédicace à personne.
Wé j'sais, c'est vraiment pour les chochottes. Genre un rêve
verlainien.
Comprenne qui voudra.

D'intuition, quelque part, par un bout je te connais.
J'ai une certitude qui me fait aller sans continence avec toi.
Quand tu serais croqué et moi perdue d'avances.
Quand par la grâce, nous serions rendus.
Quand la lumière complice.
Quand la pensée en tiers discrète nous réduirait silence.
Quand mes yeux et mes lèvres diraient oui.
Jamais tu n'auras cette nécessaire imprudence.
Jamais tu ne saisiras ce baiser, flambant là, juste là sur mes lèvres.
A ton intention.

Ces fruits qu'on ne saisit pas, maudite Eve,
ne restent pas en travers de la gorge, n'ont pas à se digérer.
Toujours, au parfum, le goût, la satiété.




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11 juillet 2008 5 11 /07 /juillet /2008 14:44
*toc toc TOC*
 *dring driiiiiiiiing DRING*
Allez hop ! A la rue mamzelle !
Bulletin express - Edition spéciale.
Redigé en morse et signaux de fumée.
Excusez du Peuh !
Wam
.
(A la rue.)
(ou presque...)
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8 juillet 2008 2 08 /07 /juillet /2008 22:02







J'étais en colère contre mon ami
Je lui dis mon courroux, mon courroux s'eteignit
J'étais en colère contre mon ennemi
Je lui tus mon courroux, mon courroux grandit


Traduction approximative des 1ers vers de
L'Arbre Empoisonné (
A Poison Tree)
de William Blake
choppé en rejouant à
Blade Runner
après avoir rematté LE Film
de l'époque ou Ridley
en faisait encore de bons.

Nexus-7 moi beaucoup.
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5 juillet 2008 6 05 /07 /juillet /2008 22:57


Celui qui n'a pas été anarchiste à 16 ans est un imbécile.

Thx à Clemenceau.


Ce conseil me fut donné à cet age à peu prés, après cours, par un prof de bio séditieux, lecteur du Tigre ou de Tardi, lui-même en conflit avec la proviseur du Fort que je quittais pour un bastion de coco.
Par écho, j'appris plus tard son cancer. Puis son décès.
A ses autres qualités s'ajoute donc l'antécédent biographique dans ma sympathie immodérée pour « 
Breaking Bad ».
Sympathie communiquée par Michel en forme de récompense après des séances actives de travail négrier sur les dialogues d'un programme éducatif pour M6 et l'INPES : la sexualité à l'usage des prolos.
« Humoristique, sarcastique, réaliste et bien-pensant ».
                       (Avec édulcorant).
Je passe sur l'incohérence et les contradictions imposées par la prod.
Toujours est-il que j'appréciais l'irrévérence - mot à la mode - propre à ces nouvelles séries tévé.
Ici sur la drogue. Bien sûr, on reste dans la morale protestante hais le péché, pas le pécheur mais faut voir le chemin parcouru depuis les films propagande tel que
Reefer Madness - dont le ridicule sert si mal le propos qu'on se demande comment ? peut-on être aussi involontairement comique.
Et puis...
Et puis alors une grand-mère - la notre, tiens ! pourquoi pas ? - nous dit de faire bien attention aux casseurs, qu'elle les a vu à la tévé.
Bonne vieille Sagesse des Nations. Pourquoi faire compliqué... ?
Alors on est un peu philosophe, on applique aux factures maccartistes le Rasoir d'Occam en faisant au passage une bise à
Orson.

Et on poursuit. On perd pas de temps avec des enfonçages de portes ouvertes et des provocs inoffensives, on cherche plutôt un bon bouquin.

Et justement, y'en a un pas mal. Un vieux feuilleton d'il y a 150 ans. Un feuilleton irrévérencieux à scandale. Au procès pour attaque aux bonnes mœurs célèbre, coup de pub inespéré qui emballa la presse à papier : Madame Bovary.

Or donc
voilà grosso merdo comment j'en suis venue à relire «Stockholm».

Un peu de Gustave et très vite, ça me démange toujours d'attraper un crayon.
C'est d'humeur flambe que je brosse sa couverture.
Il est jauni, tout écorné comme un vieux livre.
De ceux qu'on conserve malgré les pages déchirées ou absentes.
Pour sur, elles traînent là, quelque part en mémoire. Comme si elles avaient été effectivement écrites.
Et les passages effectivement écrits résonnent des notes qui n'ont pas été jouées. Saturés comme une vieille cave.
Mais « Stockholm » est inachevé. Sans doute le restera-t-il à jamais.
Stockholm, titre non contractuel. Titre, bien que longtemps « provisoirement » mué en « Aléatoire A », qui n'a pas si mal vieilli. Il a même pris un parfum pot-pourri, d'encre et de papier fané.
Et « Stockholm » craquelle, gondole, s'effrite ici, est taché là de bavure thé-café, enflé d'une grosse larme bien lourde et ici encore, et en en tournant les pages, son frou-frou évoque un petit rire, un sourire plutôt.
La mémoire après tout.
Mon « Stockholm » donc, est très bovarien. De toutes les manières qui soient.
Madame Bovary, c'est moi, comme disait Gustave.
Mais surtout je m'aperçois, à l'instar de ce que disait
Charly de la virilité d'Emma, comme - le héros - Justin, c'est moi.
Mon zèle à écrire au masculin a loupé sa cible. L'héroïne sent l'homme et la féminité a échue sur les épaules de ce pauvre Justin. Elle campe chez lui en maladie honteuse, incurable.
De cette femellique infection, l'amour stérile et bâtard de l'héroïne.
De son aversion, l'impossibilité d'une affirmation charnelle que lors de cette nuit fiévreuse, ballet pervers où les masques permettent le travestissement, où c'est elle qui le prendra.
Car Céleste n'a de cesse de chercher cure à sa virilité, à sa soif. Brutale, débridée, maudite amazone, elle semble croire qu'elle ne pourra être femme enfin que près d'un homme capable de lui faire front.
Je me suis loupée, mais je me
retrouve.
Ma dualité s'affirme à l'improbable jonction des deux héros.
Ma raison, ma fragilité contemplative et muette ; une vierge corsetée dans son éthique inviolable cloîtrée dans l'esprit de Justin.
Et le corps vagabond de cette Céleste créature idéaliste ou cynique, inéluctablement libre mais tenue en laisse par son choix -librement consenti- de s'offrir au spectacle de ce critique dont elle est la
catharsis pour en préserver la pureté. 
Mais est ce la paix qui les motive ?
J'en doute à les voir se refuser l'un l'autre la paix qu'eux seuls pourraient se donner.
Elle poursuit un mirage.
Il choisit de se soumettre à elle parce qu'elle se refuse.
L'exaltation de l'attente, voila leur moteur et voila mon
clou.


Inachevée, émotionnellement immature et éternellement insatisfaite, les années passent et je suis encore à l'image de mon roman tronqué, dont je refuse de faire se rejoindre les héros, de les voir même grandir et se cogner l'un à l'autre.

Clemenceau disait encore ceci :
  Le meilleur moment de l'amour, c'est quand on monte l'escalier.


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29 juin 2008 7 29 /06 /juin /2008 23:05

Claviotements d'
anamnèse pour la diagnosticienne docteur Sainte-Simone aka Pierre, gardienne des clés, dit-on, du salut de son âme -à tout le moins- et du paradis.


Curiosité intellectuelle opportuniste.
Tomtom en escale entre l'Ardèche et le Danemark a éveillé un besoin urgent comme une envie de pisser d'aller
ouvrir un Atlas pour situer ces îles que j'entrevoyais par ses yeux
réviser ma mythologie nordique.

Réflexes d'intello de merde, j'ai commencé avec la grande Edith Hamilton.
Puis j'ai dérivé pop culture et cinéma bis - clin d'œil à
Igor qui m'appelle « la Celte » - avec La reine des Vikings. Il est très mauvais. Du coup, j'ai surtout eu envie de revoir de meilleurs classiques de la Hammer, genre le génial La Fille de Jack l'éventreur -qui plait beaucoup à Haïde- ou encore les préhistoriques When dinosaurs ruled the earth  ou mieux 1 million years before B.C.
Bref, ça m'a quand même filé pleins d'idées de costumes pour quand je réaliserais enfin mon fantasme de devenir une star du
Catch.
J'imagine Lille-Mane, guerrière viking. Double hache. Casque à cornes. Bikini à poils et tresses dans les cheveux.
Et je porterais mon costume chez moi en buvant de la bière tiède dans des choppes de mon service en crânes humains.

Où je veux en venir avec mes délires de geek post-ado ?
Aux
Einherjar.
Etre une Einheri.
Mourir l'arme à la main.
Filer à Asgard pour manger et boire au Walhalla avec les autres braves :
Les offensifs, ceux qui n'ont cure des biens ou des autres,
vouant leur existence à la guerre et aux batailles.

J'essaie de me couer, de me mettre une disquette. Genre j'aimerais assumer.
Je mythifie mais c'est pas des mytho, je croule stricto sensu sous des qualificatifs hostiles ou monstrueux.

Dévorante. Roma(i)n, boiteux Oedipe, lance le première 'maledicta'. Je suis un Sphinx. Papillonante Carnivore à énigme.
Aliénante. Mon ex, Brio. Je suis un Grand
Patron qui attend que l'on sue sang et eau, ne paye que le smic, minimum syndical : sexe avec caresses et sourires en prime pas nettes d'impôts.
Maladie ou Tumeur. Plusieurs occurrences.
Vénérienne forcément. Maligne forcément. Transforme les sujets en cadavres ou zombies.
Gorgone. Idem.
Facile.
You're a hole, a fuckin' good hole, but a hole. A asshole sometimes, especially a black hole.A New-Yorker (boy-)friend à l'
horizon des évènements (cf aussi Twilight Zone et 'Vampire' ).
Et tant d'autres, Le
Diable  revient souvent, Vampire aussi, j'ai une tendresse particulière pour Pire qu'Hitler...

« Méfies-toi de moi ».
Impérieuse mise en garde aux
Dantes qui postule(raie)nt à pénétrer les différents niveaux des cercles privés de l'aberration que je suis, de mon infernale fréquentation.
Ils affrontent Haïde à l'entrevue de la Sainte.
Ils violent la Sainte pour un corps à corps avec Haïde.
Putain d'astigmatie ! Je les porte toutes deux, errant au purgatoire.
Que m'importe de mal etreindre, si je peux tout embrasser ?
Des lèvres, pas des bras. Mes amants veulent mettre mon âme à nue.
Des bras, pas des lèvres. Mes amis veulent me mettre nue.
On me veut toute entière : Je compartimente.
Donneuse de leçons, peut-être. Moi, je ne prends que ce qu'on m'offre. Si c'est trop onéreux, je refuse poliment.
J'essaie d'être loyale.
Par loyauté, j'accepte d'être trahie. De trahir. De me trahir.
Je disparais, je vole, je calcule et je mens. Par loyauté.

Mais je suis terrifiée.
M'apparaissent les exils auxquels se contraignent les chimères.
A l'intransigeance des autres, je justifie mon indulgence en mettant en exergue une illustration que j'affectionne :
la tortue et le scorpion. Et je disais, les Hommes sont ainsi, c'est leur nature.
Mais, pour la première fois, m'apparaît que peut-être, peut-être suis-je le scorpion de cette fable. Que peut-être je dis ; tu m'as pris sur ton dos, tu sombreras avec moi pour m'avoir aimé de trop près, quand bien même tu savais bien que c'était ma nature.
Je suis terrifiée.
La liberté, la solitude, les distances, les pudeurs...
Quel fouillis dans ma tête !

*Dring-Dring* Tomtom, pour la dissert' besoin d'un coup d'esprit.
Une heure plus tard, j'ignore toujours s'il m'a juste consolé et le cas échéant, si consolation il y a.
Surhumainement libre. Et intègre. Une capacité remarquable. Forcément captivante.
Constat Orwellien, la liberté est une prison.
La mienne.
Et de quiconque s'en approche de trop près,
de trop près quand je suis nue ou nue.
Ne te blâmes pas.
La liberté est désirable et s'offre librement.
On veut la saisir toujours.
Peut-on lui reprocher de le savoir quand elle vous a 'mis en garde' ?


Gaffe ! Je suis porteuse saine et contagieuse.
Gaffe ! Il n'y a nul remède pour cette maladie-là.
They shoot Virus, don't they ?


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27 juin 2008 5 27 /06 /juin /2008 21:01

Au programme, 2 films de Carpenter et deux versions de Snake.

L'original :

New York 1997, de J.C, 1981

Thx à furigan85
&

Invasion Los Angeles (They Live)
, de J.C,  1988


Thx à LesInsoumis

son ersatz. Mais il ne faut pas s'y tromper. Si Kurt Russel porte mieux le bandeau et la coupe mulet que l'ex catcheur
Roddy, They Live n'en est pas moins un master piece du maitre Orwellien.

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24 juin 2008 2 24 /06 /juin /2008 23:37





' Une orange sur la table
Ta robe sur le tapis
Et toi dans mon lit
Doux présent du présent 
Fraîcheur de la nuit
Chaleur de ma vie '



Prévert et Sfar pour Homme de Ma vie en escale surprise.

Tu me manques aussi.

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